Une exposition présentée par la mairie du 2e arrondissement de Paris et PHONO Museum Paris du 28 novembre au 8 décembre 2017.
160 ans d’histoire du son enregistré à l’occasion du bi-centenaire de Edouard Léon Scott de Martinville. Première personne ayant réussi a enregistrer la voix humaine en 1857 (20 ans avant Thomas Edison).
Pour s’y rendre: Mairie du 2è, 8 rue de la Banque 75002 Paris, Métro Bourse.
2017 fut une année dédiée a Edouard Leon Scott de Martinville, de nombreux événements (France, Etats-Unis) autour son invention, le phonotaugraphe, le dernier homage de cette année se trouve pendant 5à7 de l’academie des sciences.
Plus d’infos autour de la conférence à l’académie des sciences.
Nous venons de lancer une campagne de financement participatif sur le site Ulule afin de récolter des fonds et sauver le PHONO Museum Paris. Votre participation et votre soutien sont importants, n’hésitez pas à partager l’information autour de vous. La machine est lancée… En avant la musique ! http://fr.ulule.com/phonomuseum/
Congrès du Caire 1932, Coffret de 18 compact disques, livret 254 pages Français, Anglais, Arabe. Prix 199 €
Authentique document d’archive sonores de plus de 18 heures de musique, 334 faces de disques 78 tours de la filiale égyptienne de la firme His Master’s Voice de la Gramophone company. des enregistrements non commercialisable. Un mythe pour tous les chercheurs et amateurs de musique Arabe.
Un important travail de restauration du son effectué dans les studio, la BnF, en collaboration avec l’émirat d’Abou Dhabi, et sous la direction scientifique de Jean Lambert (centre de recherche en ethnomusicologie). Pascal Cordereix. Texte original de Bernard Moussali. Restauration sonore par Luc Verrier.
Il s’agit de la première manifestation scientifique d’envergure consacrée à des musique savantes non occidentales. Le Roi Farouck d’Egypte avait confié l’organisation au musicologue Franco-Britannique Le Baron Rodolphe François d’Erlanger. Ce congrès du Caire 1932 à fait date dans l’histoire de la musiques du XX siècle.
ISBN : 978-2-7177-2648-0
Daniel Marty nous a quitté il y a quelques jours. C’est au fin connaisseur et grand collectionneur de phonographes que nous voulons rendre hommage ici. Bien sûr, sa riche carrière de chanteur lyrique ne nous est pas inconnue mais c’est le collectionneur que nous connaissons et fréquentions. Son livre, Histoire illustrée du phonographe est une référence pour toutes les personnes qui s’intéressent à ces machines parlantes. Lui les a découvertes à l’occasion de recherches musicologiques qu’il faisait.. Pour lui rendre un dernier hommage, quoi de mieux que de lui donner encore une fois la parole. Voici une courte vidéo réalisée au PHONO Museum Paris où il raconte comment se déroulaient les concerts de Tito Schipa. Repose en paix , Daniel.
Le Phono Museum ouvre sa saison le dimanche 1er février 2015 avec un concert acoustique de musique savante du Proche Orient par deux musiciens (percussion et oud) alternant chacun les deux instruments.
53, boulevard de Rochechouart – 75009 Paris
Prix : 15€ – Nombre de places limité à 50. Réserver au 01.45.26.45.80 ou 06.80.61.59.37.
Vente sur place en fonction des disponibilités. Ouverture de portes à 18 h
Programme :
Suite dans le mode Nahawand :
– Soubhana man Saw’war (Omar Al-Batsh)
– Semâï Farahfaza (Jamil Tanbouri)
– Longa Yorgo (Jamil Tanbouri)
– Mounyati Aaz’zas’stibâri (Sayyed Darwiche)
Suite dans le mode Hijaz :
Lam’ma Badâ Yatathan’nâ (Traditionnel)
Ya râÏz’zibâ (Kamel Al-Khoulaï)
Sal’la fînal’lahza (traditionnnel)
Zâranil’mahboûb (traditionnnel)
Yamour’rou oujban (Omar Al-Batsh)
Law kounta tadrî (yahia As’saoûdi)
Danse Zeybaqlî (tradionnel)
Suite dans le mode Bayâti :
Semâï (traditionnel)
Fîka koul’lou ma Arâ Hassan (traditionnel)
Imlâlil aqdâha Sirfan (traditionnel)
Hib’bî daâni lil’wisâl (traditionnel)
Suite dans le mode Rast :
Samâï (Tatios)
Ahin’nou Shawqan (Marâghi/Mamlouk)
Yâ man laïbat (traditionnel)
Biographie Mohanad Aljaramani (percussions et oud) : né en 1979 à Sweida
(Syrie). Études de 2002 à 2008 à l’Institut Supérieur de
Musique de Damas, classe de percussions et de composition. Il
est membre de l’orchestre de musique traditionnelle de Damas
à partir de 2005. Il collabore entre 2006 à 2011 à de nombreux
concerts dans différents pays et se produit à partir de 2008
avec le « Trio Aljaramani » en compagnie de ses deux
frères.Avec le clarinettiste Raphaël Vuillard et Khaled
Aljaramani, il enregistre un album en 2008 pour Ad
Vitam/Harmonia Mundi, intitulé « Bab Assalam » qui sera suivi
d’une tournée. Il participe avec l’Orchestre des jeunes de la
Méditerranée (France/région PACA) à la création de l’oratorio
« L’évangile selon Jean », pour Choeur mixte et orchestre
d’Orient et d’Occident, musique d’Abed Azrié, qui sera créé en
2009 à l’opéra de Damas puis au Festival des Musiques Sacrées
de Fès, l’opéra de Marseille et l’opéra de Nice (2 CD1 DVD
Doumtak/Harmonia Mundi). Il participe en 2011 avec
l’ensemble d’Abed Azrié à une tournée au Mexique et depuis en
France. Il réside et travaille en France depuis 2012 où il
participe à plusieurs concerts avec le groupe « Bab Assalam »
et participe aux tournées de la chanteuse Noma Omran et le
trio « Exil » dont il enregistre un enregistre un enregistre un album éponyme.
Biographie Yousef Zayed (percussion et oud) : né en 1982 à Jérusalem, il pratique
les percussions orientales dès à l’âge de 11 ans et se perfectionne avec
Youssef Hbeish au Conservatoire National Edward Saïd de Ramallah où
il obtient un diplôme en percussion. Avec des artistes comme Khaled
Joubran, Ahmad Al-Khatib and Issa Boulos il étudie le oud et la théorie
musicale orientale. il obtient une licence dans les Medias de l’Université
de Birzeit. Il accompagne nombreux musiciens et ensembles tels Khaled
Jubran, Basel Zayed, Ahmad Alkhatib, Issa Bolous, Nawa, Turab,
Karloma, Awj, The Oriental Music Ensemble, Palestinian youth orchestra
PYO, Samer Totah, Lena Chamamyan, Elie Maalouf Jazz Quintet, Le
Trio Joubran, Samih Choukaer, Abed Azrié, Wassim Qassis, Jameel Al-
Sayeh, Sabreen, Smadj, Beit Almusiqa group musical, Yasamine, Al
Funoun Folk dance group et First Ramallah group pour la musique et la
dance.Yousef Zayed a travaillé avec l’association Sabreen pour les
développement artistique et enseigné la percussion oriental au
Conservatoire d’Edward Said à Ramallah. Il étudie actuellement les
percussions classiques et la théorie de la musique occidentale au
Conservatoire de Gennevilliers à Paris.
Ouverture spéciale du 28 au 31 décembre de 11h à 19h .
Phonogalerie : 10, rue Lallier – 75009 – Paris – France .
Métro : Pigalle (lignes 2 et 12) ou Anvers (ligne 2). Bus : 30, 54, 85, 67.
Tel : +33 (0)1 45 26 45 80 – Mobile : +33 (0)6 80 61 59 37 – aro@phonogalerie.com
Adresse postale : 6, rue Crétet – 75009 Paris, France
Interview, Ariel Wizman avec L’artiste TéTé pour Canal+, la nouvelle édition le 19 février 2013.
Nouvel album NU LÀ-BAS, sortie le 25 février 2013. http://www.tete.tt/
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=AYCeKCxF5sk[/youtube]
Paris face cachée 1,2,3 février 2013, grand succès. Multi génération de 6 ans à 87 ans. Nous avons eu du monde non stop ce qui veut dire pas de pause possible entre les groupes car les visiteurs n’avaient pas envie de quitter les lieux – c’est l’arrivée du groupe suivant qui sonnait la fin au précédent
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xwz4f3_paris-face-cachee-la-phonogalerie_creation[/dailymotion]
Le Mercredi 18 janvier à partir de 18h à la phonogalerie 10 rue Lallier Paris 9eme, une soirée dédicace du livre de Jean-Luc Rigaud Pathé Marconi à Chatou de la musique à l’effacement des traces.
Prix 28 Euros, en vente à La Phonogalerie, éditions Classique GARNIER Histoire des techniques,2, Paris 2011, 242 pages, format 24 x 16 cm.
L’usine Pathé Marconi de Chatou, fermée en 1992, fut rasée en 2004, laissant place à un ensemble immobilier : fin d’une histoire, début d’une réflexion. Comment cette usine Art déco, si fortement inscrite dans le paysage urbain a-t-elle pu disparaître sans laisser la moindre trace patrimoniale ? Rivalité des deux mémoires de la ville, cité des impressionnistes et haut lieu de la fabrication du disque, pression de la spéculation immobilière, mauvaise appréhension du patrimoine industriel ? Cette étude de cas approfondie, en amont de l’histore du son enregistré et de l’épopée Pathé, la comparaison avec d’autre situation à l’étranger, nourrissent une réflexion plus générale sur le patrimoine industriel.
Cette étude a reçu le prix d’histoire François-Bourdon et de la fondation Arts et Métiers dans la catégorie <jeunes chercheurs 2010>. Sa publication est soutenue par la fondation Jérôme Seydoux – Pathé.
Jean-Luc Rigaud est chercheur associé dans la section patrimoine industriel au Centre d’histoire des techniques à l’université Paris Panthéon-Sorbonne. Il encadre les travaux du master Erasmus Mundus TPTI, intervient à l’université de Versailles (master professionnel ingénierie de la culture et de la communication). Il est également en charge des projets internationaux d’une école de chambre de commerce et d’industrie de Paris.